Avec les élèves de Saint-Louis Saint-Clément préparant le Train de la Mémoire, nous sommes allés dimanche 16 octobre au CERCIL et sur les traces du camp de Pithiviers, cette visite a été très intéressante et nous vous la recommandons fortement.
"Ceux qui oublient le passé sont condamnés à le répéter" d'après Georges Santayana
Avec les élèves de Saint-Louis Saint-Clément préparant le Train de la Mémoire, nous sommes allés dimanche 16 octobre au CERCIL et sur les traces du camp de Pithiviers, cette visite a été très intéressante et nous vous la recommandons fortement.
Des élèves du groupe d’Amboise on participé à cette cérémonie. Le témoignage de l’une d’entre eux :
« Cette année encore, au nom de mes sept camarades et des cinq cents lycéens avec lesquels je suis allée à Auschwitz, j’ai tenu à être présente pour commémorer le souvenir des déportés avec vous.
Ce voyage à Auschwitz a été pour nous un voyage intérieur, duquel nous sommes revenus avec encore plus de questions qu’avant le départ.
Ces questions ont trait au mal, au pardon, à ma capacité de dire : NON, STOP, de refuser, quoi qu’il m’en coûte, ce que, en conscience, je juge intolérable. Continuer la lecture de « Amboise : Journée nationale du souvenir des victimes de la déportation »
Début juillet 2014 grâce à Yad Vashem nous avons découvert le Site-Mémorial du Camp des Milles et ses parcours pédagogiques.
Continuer la lecture de « Le Site-Mémorial du Camp des Milles : un lieu de formation »
Rencontre avec Henri Borlant à Notre Dame de Sion à Evry
« Le discours d’Henri Borlant était très intéressant, en plus de mieux comprendre les conditions de vie dans les camps et hors des camps, il nous a appris qu’il est possible même après avoir subi de telles atrocités de reconstruire une vie « normale », il a réussi à fonder une famille et donc à retrouver foi en la vie. Son discours était particulièrement touchant car personnellement j’avais beaucoup de mal à imaginer comme la vie était possible après avoir été interné dans un camp. Henry Borlant est donc l’exemple même qu’il est possible de se reconstruire. »